Plus un journal de bord qu'un état des lieux, ce blog est une annexe de l'autre (ceci est un lien, en cliquant dessus vous y arriverez, sur ce blog) où je montre mon travail. Histoire de pas tout mélanger le travail et la chronique éthnocentrico-narcissique.
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Timisoara, c'est LÀ:

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À l'ouest-ouest de la Roumanie.

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mardi 8 mars 2011

Après la journée de la femme...

...qu'on a aussi fêtée ici hier, parce que les aberrations n'en ont que faire des frontières (je constate que c'est effectivement mondial, en tout cas européen), aujourd'hui on célèbre encore quelque chose. Quelque chose qui a du r'tour, une tradition, une vraie. Quelque chose dont j'avais pas entendu parlé en France.

Je vais essayer de vous expliquer, ça va pas être simple pour moi parce que mon camarade Cristi (le doctorant musico-physicien, héros du petit triptyque ci-en haut) me l'expliqua hier soir à une heure quelque peu arrosée, et notre gromelo commençait à perdre de sa fluidité.
Donc.
Il y a moult, 40 hommes d'Église furent zigouillé, je n'ai compris ni par qui, ni quand, ni pourquoi.
L'usage veut que chaque 9 mars depuis on boive, à son rythme (on est pas des sauvages), 40 verres de vin dans la journée.
Bon, comme je suis pas un touriste...
Je l'appellerai "numéro 1" (cédric chauvelot dans le texte), pour le symbole, mais je garanti pas d'en appeler un n°2, ou 3, ou 40.

(pour l'essplication authentique, merci wikipédia, il suffit de cliquer , ça s'appelle les Quarante martyrs de Sebaste, et c'est pas une histoire très rigolote)

Mais ça reste une histoire.
(un verre de vin par martyr tout nu)

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