Plus un journal de bord qu'un état des lieux, ce blog est une annexe de l'autre (ceci est un lien, en cliquant dessus vous y arriverez, sur ce blog) où je montre mon travail. Histoire de pas tout mélanger le travail et la chronique éthnocentrico-narcissique.
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Timisoara, c'est LÀ:

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À l'ouest-ouest de la Roumanie.

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samedi 5 mars 2011

De la rue à l'apart. (traduction en Roumain sous peu)

La place de l'opéra, à traverser avent de regagner le nid:

La ruelle qui conduit à notre chez-nous:

La porte, il y a du sang sur la vitre (détail à suivre):

Le tût-tût pour ouvrir. J'ai l'impression d'être dans startrek à chaque fois que je rentre chez moi.

Bon, le hall fait nettement moins startrek, ok.


Quoi que.

Fort heureusement, il y a un ascenseur, on passe devant les boites aux lettres pour y accéder.

Avez-vous vu comme elles sont droites et ont l'air solide ?

P ça veut dire qu'on est au rez-de chaussée. Je crois.

4 ça veut dire que je vais au 4ème étage:

Ça c'est moi en Roumanie (tu as vu, moman, j'ai pas plus mauvaise mine que d'habitude):

Ça c'est un tuyau jaune, mais j'habite de l'autre coté.

De ce côté là, la porte du fond, à droite:

Elle est blindée et y a un judas, je trouve ça trop cool, c'est mon premier judas.

Tadaaaaa.

Une visite de l'apart bientôt...


J'ai conscience que ce genre d'article s'adresse plus à ma maman et aux proches-proches qu'à qui que ce soit d'autre (je pense à toi, ouebsurfeur pas plus voyeuriste que ça).

Mais bon, quitte à passer du temps à organiser cette visite guidée, autant en faire profiter tout le monde... Ça reste une histoire, non ?


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