Je déteste les jours d'anniversaire (ouahou, quel recalcitrant mutin ce Jean), parce que tu mets bout à bout tout ce qui s'y passe, et du coup ça a l'air pourri, parce que c'est ton anniversaire, et que zut, ça pourrait être plus formidable tout de même.

Prenons cette journée, par exemple, absolument vide de toute attente, éba elle a frôlé la perfection (et ce malgré l'augure sinistre que fût cette aile dénuée de pigeon vivant pour la faire battre):
Il résume très bien à quel point cette journée avait du slip.

J'ai barbeucuté à la mode hongroise (la plupart de mes camarades sculpteurs sont Hongrois, en fait): On a mangé du traditionnel GRAS.
J'ai emballé mon gugus, au cas ou il pleuvrait cette nuit.









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