Plus un journal de bord qu'un état des lieux, ce blog est une annexe de l'autre (ceci est un lien, en cliquant dessus vous y arriverez, sur ce blog) où je montre mon travail. Histoire de pas tout mélanger le travail et la chronique éthnocentrico-narcissique.
Remarque c'est aussi un travail, ce blog, en fait..

Ma page vimeo en cliquant .
Et pour me contacter directement: jean.chauvelot@gmail.com

Timisoara, c'est LÀ:

Timisoara, c'est LÀ:
À l'ouest-ouest de la Roumanie.

Archives du blog

vendredi 1 avril 2011

Promenade post-moutch.

Voici la carte de Timisoara:
Je voulais aller à l'école, aujourd'hui, pour travailler. Mais au pied de mon gugus, je me suis pas senti d'attaque. Alors j'ai tourner les talons.
Je suis passé par les toilettes pour photographier le petit gugus, il tient un pistolet.
Ensuite j'ai flâné. Je suis passé par ce trou:
Je n'ai pas marché sur la pelouse, ça m'aurait coûté 200 à 1000 lei.
J'ai photographier le plus gros tas de feuille du monde. C'est vraiment ahurissant que Timisoara soit pas plus touristique que ça. Il faut savoir que ça a été la première ville illuminée d'Europe, en plus du gros tas de feuille.
Et de l'arbre blanc.
Et du train qui passe parfois dans le parc.
Et de cette bagnole, que Susan Sarandon pourrait dire qu'on pourrait garer le cul de Brad Pitt à l'angle de cette bagnole !

Cette façade a une étrange texture, on dirait de la pâte à modeler:
Et ça c'est Vlad Tepes, pour toi Laurent, si tu nous lis:
Ça ce sont des militaires, je crois qu'ils m'ont un peu gueulé dessus, mais j'ai fait comme si de rien. Nique les militaires vive l'anarchie ouaich.
Ça ce sont les taxis, qui en plus d'être jaune-jaune, ne sont pas chers. J'aimerais réussir à en dire quelque chose, mais ça ne vient pas. Affaire à suivre.
Des graffitis:
Celui-là on le voit partout (ça fait même 2 fois dans un même blog, dis-donc)
J'aime bien ce bout-là.

Et ce poulpe. Je crois que ça cause un peu politique. Un graffiti engagé.

Les pigeons clapotent dans l'eau.
Ou prennent de la hauteur, parce qu'aujourd'hui, un marché leur squatte leur place. Le marché du premier avril ? Pâques ?

1 commentaire: