Bucarest c'était chouette, mais il a bien fallu en décoller. Monté en voiture à 7h45 du matin, arrivée à ma maison à 1h30, le matin suivant.. (On a pas franchement chaussé nos baskets de sept lieux)
On a traversé de grandes étendues de catégorie "plaine".
Sur lesquelles parfois on pouvait voir des arbres.
Des centrales à charbon. (on dirait des centrales nucléaires, mais non)
Ou encore des panneaux où c'est écrit "votez moustache".
Ou des ruines et des montagnes.
Ou des snacks implantés sur le 45eme parallèle.
Et parfois des cimetières. Parce que les gens meurent aussi, parfois, même en Roumanie.
Parfois d'avoir trop fait de vélo sur l'autoroute.
On peut aussi mourir d'avoir transbahuter de lourdes charges sans plier les genoux en les soulevant. Ce qui n'est pas son cas à elle, puisqu'elle crapahute d'un pas sûr, sans poser la main sur ses reins.

D'autres gens vendent des trucs sur le bord de la route, parfois comme ça, plus ou moins à la sauvette.
Parfois ils ont l'air riches, et plus tout à fait dans la force de l'âge, mais font du stop quand même. Le stop est bien plus répandu qu'en France, on voit souvent des groupes d'auto-stoppeur qui attendent une voiture comme on attendrait son bus.


D'autres préfère la mobylette.
Andrei avait dans l'idée de me le faire visiter, ce château dont j'ai oublié le nom, mais quand on s'est rendu compte qu'il fallait attendre le prochain tour de visite (une attente de 20 minutes, pour une visite de 45 (minutes)), on s'est ravisé, parce qu'on avait de la route.
En redescendant j'ai eu droit à un exposé plus qu'intéressant (presque fascinant, si si) sur l'histoire de la Roumanie, de 1877 à nos jours, par Andrei.
La Roumanie a parfois des airs de Berry (ou Berri). Enfin de Cher (région centre, en France, là où j'ai appris à faire du vélo, si si)
Lui c'est un berger. Les bergers roumains, c'est assez fou, se promènent avec plein de moutons:
Il faut savoir qu'à la campagne, le mouton me fait à peu près le même effet que le pigeon à la ville (j'entends par là une fascination quasi freudienne). Heureusement qu'on a pas arrêté la voiture. Et puis pour me faire oublié les moutons, j'ai sombrer dans le pigeon rural..
Et le soleil commençant à se coucher, j'ai arrêter mon safari photo.
























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